Deborah Turbeville aimait travailler en France ou en Italie, recherchant des lieux de tournage chargés d'histoire, souvent abandonnés ou délabrés, comme le bain public de New York de sa première...
Deborah Turbeville aimait travailler en France ou en Italie, recherchant des lieux de tournage chargés d'histoire, souvent abandonnés ou délabrés, comme le bain public de New York de sa première grande série. Ces endroits en ruine lui permettaient de réaliser des mises en scène saisissantes qui sont rapidement devenues sa marque de fabrique. Sa manière de photographier ses modèles, capturés dans des moments intimes de repos, à l’abri de l’agitation du monde, est également devenue une partie intégrante de son style signature.
She liked to work in France or Italy, seeking out shooting locations that were full of history, often abandoned or dilapidated like the New York bathhouse of her first great series. These run-down places allowed her to engage in the striking staging that quickly became her trademark. Her way of photographing her models, captured at intimate moments of rest, sheltered from the bustle of the world, also became part of her signature style.