Hélène Delprat FR, 1957
THE NAUTILUS ROOM, 2021
Ensemble de 4 caissons lumineux, mannequin à l’effigie de l'artiste, socle mécanique, son. Set of 4 lightboxes, mannequin in the artist's effigy, mecanical base, sound.
Dimensions Variables.
Variable dimensions.
Variable dimensions.
HD1267
© Hélène Delprat, Adagp, Paris.
Nautilus room / Le son What says the Augurus ? Le son qui accompagne l’installation est composé de très courts fragments de textes comme « Stories and texts for nothing...
Nautilus room / Le son
What says the Augurus ?
Le son qui accompagne l’installation est composé de très courts fragments de textes comme « Stories and texts for nothing » de Beckett, lus par Read by Jack MacGowan.1
“I weep without interruption. It's an unbroken flow of words and tears. With no pause for reflection. But I speak softer, every year a little softer. Perhaps. Slower too, every year a little slower. Perhaps. it is hard for me to judge. If so the pauses would be longer, between the words, the sentences, the syllables, the tears, I confuse them, the words and tears, my words are my tears, my eyes my mouth.”
Il est délibérément sombre.
On entend aussi des bruits indistincts, des pas , des souffles, des échos confus, des chuchotements et la voix de Jean-Louis Trintignant. Il lit soit les titres de mes peintures,( On entendait des bruits venus de l’autre monde... ) soit les titres d’entrées de mon blog : Ne souriez pas , Ouvrez les yeux/ fermez les yeux... On entend également des passages brefs du film « Un chevalier couvert de cendres « , des voix synthétiques ( I don’t want to die/ I am afraid ), Lawrence Olivier Dans Hamlet « To sleep, to die, no more... » et du silence.
What says the Augurus ?
Le son qui accompagne l’installation est composé de très courts fragments de textes comme « Stories and texts for nothing » de Beckett, lus par Read by Jack MacGowan.1
“I weep without interruption. It's an unbroken flow of words and tears. With no pause for reflection. But I speak softer, every year a little softer. Perhaps. Slower too, every year a little slower. Perhaps. it is hard for me to judge. If so the pauses would be longer, between the words, the sentences, the syllables, the tears, I confuse them, the words and tears, my words are my tears, my eyes my mouth.”
Il est délibérément sombre.
On entend aussi des bruits indistincts, des pas , des souffles, des échos confus, des chuchotements et la voix de Jean-Louis Trintignant. Il lit soit les titres de mes peintures,( On entendait des bruits venus de l’autre monde... ) soit les titres d’entrées de mon blog : Ne souriez pas , Ouvrez les yeux/ fermez les yeux... On entend également des passages brefs du film « Un chevalier couvert de cendres « , des voix synthétiques ( I don’t want to die/ I am afraid ), Lawrence Olivier Dans Hamlet « To sleep, to die, no more... » et du silence.
Provenance
- Atelier de l'artiste, Paris (FR)Expositions
- La Beauté du Diable. Curators : Benjamin Bianciotto & Sylvie Zavatta, FRAC Franche Comté, Besançon (FR), 2022-2023- Art Basel - Unlimited, Galerie Christophe Gaillard, Bâle (CH), 2021