Inscrite dans le programme du Mois de la Photo du Grand Paris au printemps, la deuxième saison de la MEP est consacrée au corps, avec une grande exposition de Michel Journiac, en parallèle de celle d'Orlan, avec des oeuvres pour partie issue de la collection de la MEP et de la galerie Christophe Gaillard.
L'exposition réunit une centaine d'oeuvres qui recouvrent les grandes thématiques de l'artiste : les Pièges, les Rituels, les Contrats et les Icônes. À travers une pratique protéiforme parodiant des rituels religieux ou sociaux, il s'interroge sur les jeux d'identité et remet en question la morale, la sexualité ou le sacré. C'est par la photographie qu'il conserve en grande partie les traces de ces actions, sorte de parachèvement de la démarche laissée en suspens. Ses photographies font revivre le corps, l'authentifient, lui redonnent un sens politique en y infiltrant même une mémoire collective des marges.
Prophétique, son œuvre dégage une véritable énergie poétique, privilégiant l'écart, l’affût, le saut de côté, motivée par un état d'esprit totalement émancipé et libre.
Un catalogue, publié aux Éditions Xavier Barral, accompagne l'exposition.
L'exposition réunit une centaine d'oeuvres qui recouvrent les grandes thématiques de l'artiste : les Pièges, les Rituels, les Contrats et les Icônes. À travers une pratique protéiforme parodiant des rituels religieux ou sociaux, il s'interroge sur les jeux d'identité et remet en question la morale, la sexualité ou le sacré. C'est par la photographie qu'il conserve en grande partie les traces de ces actions, sorte de parachèvement de la démarche laissée en suspens. Ses photographies font revivre le corps, l'authentifient, lui redonnent un sens politique en y infiltrant même une mémoire collective des marges.
Prophétique, son œuvre dégage une véritable énergie poétique, privilégiant l'écart, l’affût, le saut de côté, motivée par un état d'esprit totalement émancipé et libre.
Un catalogue, publié aux Éditions Xavier Barral, accompagne l'exposition.
Avril 20, 2017