Note, calcul du prix: H + L x 100

~

This is the painting Maguire created from a series of photographs I sent him after obtaining them from a colleague on the Houston Chronicle, who had in turn been leaked them by Mexican authorities. They were among the most horrific images I have ever seen: a truck full of butchered human bodies, mutilated and latere laid out on a tarpaulin. No one ever printed this pictures, or made them public, and it was certainly not for me to do so. But I thoutgh that the hands of the painter, some important statement would emerge, on that "style" of killing.

Maguire says, "The photograph I used for the painting is that of the bodies laid out ub a temporary mortuary, , near the find. What took my interest was the bottle of formaldehyde used to spray the bodies; it was places were we normally find some kind of statue or religious object. In its way for me, it signified the absence of God in this story - only flesh, men as meat." Perhaps the way painting requires the action of the painter's hand, employed accross specific time, allows images like this to be rendered in a way that contains and yet transcends the horror.

Extratc from the monograph "Brian Maguire", published in October 2018.


~~

Voici le tableau que Maguire a créé à partir d'une série de photographies que je lui ai envoyées après les avoir obtenues d'un collègue du Houston Chronicle, à qui les autorités mexicaines les avaient communiquées. Elles faisaient partie des images les plus horribles que j'aie jamais vues : un camion rempli de corps humains dépecés, mutilés et étendus sur une bâche. Personne n'a jamais imprimé ces images, ni ne les a rendues publiques, et ce n'était certainement pas à moi de le faire. Mais je pensais que des mains du peintre, une déclaration importante émergerait, sur ce "style" de meurtre.

Maguire déclare : "La photographie que j'ai utilisée pour la peinture est celle des corps disposés dans une morgue temporaire, près de la découverte. Ce qui a retenu mon attention, c'est la bouteille de formaldéhyde utilisée pour asperger les corps ; c'était l'endroit où l'on trouve normalement une sorte de statue ou d'objet religieux. À ma façon, cela signifiait l'absence de Dieu dans cette histoire - seulement de la chair, des hommes comme de la viande." Peut-être que la manière dont la peinture exige l'action de la main du peintre, employée à travers un temps spécifique, permet de rendre des images comme celle-ci d'une manière qui contient et pourtant transcende l'horreur.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)