La galerie Christophe Gaillard est heureuse d'annoncer la première exposition personnelle d'Anita Molinero en ses murs ‘Les Larmes de Louise’.
Suite à la récente rétrospective de l’artiste au Musée d’Art Moderne de Paris (2022), cette exposition portera un regard neuf sur la carrière d'une artiste devenue incontournable, et ce, au travers un ensemble d'oeuvres récentes ou d’œuvres plus anciennes inconnues du grand public.
‘Les Larmes de Louise’ fait référence à une sculpture nouvellement réalisée de l’artiste. Elle est un hommage explicite à Louise Bourgeois et à ses célèbres "araignées", qui jouent chez Anita Molinero le rôle de figures tutélaires et avec lesquelles l'artiste a noué un rapport affectif fort.
Par ailleurs, une place toute particulière sera accordée dans la galerie à la série de sculptures « Rendez-vous » datant de 2008 et réalisées pour l'espace public. Après de nombreuses propositions d'exposition rejetées par les collectivités, cette œuvre voit finalement le jour en 2008 pour la biennale du Havre initiée par David Perreau. Présentées entre autres par la suite au Confort Moderne, au Consortium, ces « rendez-vous » (comme l'artiste a pris l'habitude de les évoquer) sont d'anciennes cabines téléphoniques que l'artiste a pu récupérer et dans lesquelles une ou plusieurs poubelles extrudée (s) par le feu (geste signature de l’artiste) ont été insérées. Ainsi, cinq de ces œuvres, illuminées, jonchent le sol de la galerie et imposent une atmosphère proche de la science-fiction (cf. Terminator 2, Alien 3).
Née en 1953 à Floirac (France), Anita Molinero est diplômée en 1977 de l’École supérieure des Beaux-Arts de Marseille.
L'artiste a fait l'objet d'importantes expositions monographiques institutionnelles, tant à l'étranger qu'en France : Le MAM Paris en 2022. En 2021 le Kunstverein de Munster ainsi que le MAMCO Genève qui lui consacre une troisième exposition personnelle (les deux précédentes ayant eu lieu en 2012 et 2006), le 19, Crac - Centre régional d'art contemporain, Montbéliard, 2019 ; Palais de Tokyo, Paris, 2018 ; Museo Ettore Fico, Turin 2015 ; Le Consortium, Dijon 2014 ; FRAC Alsace, Sélestat, 2009. En avril 2015, elle a reçu le prix de la résidence de la Fondation Salomon à. New York.
L’artiste bénéficie d’une monographie éditée au Presse du réel en 2018 dirigé par Paul Bernard et lors de sa dernière rétrospective au Musée d’Art Moderne de Paris le musée a fait paraître un ouvrage rétrospectif.
‘Les Larmes de Louise’ fait référence à une sculpture nouvellement réalisée de l’artiste. Elle est un hommage explicite à Louise Bourgeois et à ses célèbres "araignées", qui jouent chez Anita Molinero le rôle de figures tutélaires et avec lesquelles l'artiste a noué un rapport affectif fort.
Par ailleurs, une place toute particulière sera accordée dans la galerie à la série de sculptures « Rendez-vous » datant de 2008 et réalisées pour l'espace public. Après de nombreuses propositions d'exposition rejetées par les collectivités, cette œuvre voit finalement le jour en 2008 pour la biennale du Havre initiée par David Perreau. Présentées entre autres par la suite au Confort Moderne, au Consortium, ces « rendez-vous » (comme l'artiste a pris l'habitude de les évoquer) sont d'anciennes cabines téléphoniques que l'artiste a pu récupérer et dans lesquelles une ou plusieurs poubelles extrudée (s) par le feu (geste signature de l’artiste) ont été insérées. Ainsi, cinq de ces œuvres, illuminées, jonchent le sol de la galerie et imposent une atmosphère proche de la science-fiction (cf. Terminator 2, Alien 3).
Née en 1953 à Floirac (France), Anita Molinero est diplômée en 1977 de l’École supérieure des Beaux-Arts de Marseille.
L'artiste a fait l'objet d'importantes expositions monographiques institutionnelles, tant à l'étranger qu'en France : Le MAM Paris en 2022. En 2021 le Kunstverein de Munster ainsi que le MAMCO Genève qui lui consacre une troisième exposition personnelle (les deux précédentes ayant eu lieu en 2012 et 2006), le 19, Crac - Centre régional d'art contemporain, Montbéliard, 2019 ; Palais de Tokyo, Paris, 2018 ; Museo Ettore Fico, Turin 2015 ; Le Consortium, Dijon 2014 ; FRAC Alsace, Sélestat, 2009. En avril 2015, elle a reçu le prix de la résidence de la Fondation Salomon à. New York.
L’artiste bénéficie d’une monographie éditée au Presse du réel en 2018 dirigé par Paul Bernard et lors de sa dernière rétrospective au Musée d’Art Moderne de Paris le musée a fait paraître un ouvrage rétrospectif.